M. Philippe Deitz, un ancien fonctionnaire fédéral, membre de la Grande Loge Régulière de Belgique (GLRB), avait été invité à faire une communication sur ce sujet.
Le conférencier s’est exprimé en son nom, s’affirmant catholique et faisant état de son itinéraire personnel qui le conduit à concilier appartenance catholique et adhésion à la maçonnerie régulière (théiste).
A ses yeux, la franc-maçonnerie s’appuie surtout sur des valeurs judéo-chrétiennes et manie le symbole comme outil de compréhension et de diffusion de son message humaniste dans lequel le Dieu créateur – Dieu de la Bible – est considéré comme le Créateur ou le Grand Architecte de l’Univers. Dès lors, cette franc-maçonnerie devrait ainsi être considérée comme « quelque chose en plus » et non pas «quelque chose à la place de». Elle permettrait à différents croyants de pouvoir partager une recherche intérieure et de pratiquer une forme d’œcuménisme avant la lettre, sans remettre en cause ni heurter les convictions religieuses personnelles des membres.